Mon penchant pour la droite et mon penchant pour la gauche

Mercredi, journée à double ronde.

Pas de problème pour Alexandre qui domine vite ses deux adversaires 1656 et 1764 elo.

Dans ma première partie, une Hollandaise où mon adversaire bétonne avec e3 d4 c3, je ne joue pas à gauche à l’aile roi mais à l’aile dame avec une attaque de minorité. Je réussis à lui créer un pion arriéré en c3, et après de longues manœuvres, je le gagne et gagne la partie.

Dans la deuxième partie, face à une défense moderne où je joue d4 e4 f4, je ne joue pas à droite à l’aile roi, mais à l’aile dame en poussant c4 b4. Malheureusement, une petite combinaison de mon adversaire gagne la qualité. Dans une position complexe où mes pions avancés compensent la qualité de moins, on décide de faire nulle, sachant que mon adversaire et moi-même étaient fatigués de la partie du matin.

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